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Sans doute il y a le regard de ces très grands yeux

Sans doute il y a le regard de ces très grands yeux

Au cœur de son œuvre poétique, romanesque ou théâtrale, et jusque dans ses essais sur l’art ancien et contemporain, André Pieyre de Mandiargues (1909-1991) fait la part belle aux rêves, aux allégories, à la mythologie et à l’érotisme. Proche du groupe surréaliste, il participe à certaines de ses activités après sa rencontre avec André Breton, en 1947. La même année, il fait la connaissance d’une artiste d’une grande beauté, Bona Tibertelli De Pisis (1926-2000), nièce du peintre Filippo De Pisisi, qu’il épouse en 1950. En 1964, il s’interroge sur le mystère de leur amour, ce « lien » qui échappe au « langage d’homme ».