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Tanguy Viel

Tanguy Viel

Classe écritures
Lancée en 2019, la classe écritures est née d’une volonté commune du rectorat de Normandie et de l’Imec d’inscrire, dans le cadre du PEAC (Parcours de l’élève) et sur la base du volontariat, une pratique régulière de l’écriture accompagnée par un écrivain. Inspirée du modèle des classes à horaires aménagés, elle propose à quinze élèves du collège Jean Moulin à Caen, une pratique hebdomadaire de l’écriture créative pendant deux années scolaires (4e et 3e).

Cette deuxième édition s’ouvre avec l’auteur Tanguy Viel, qui mènera des ateliers d’écriture auprès des collégiens, de septembre à décembre 2021.

Tanguy Viel
Tanguy Viel est né en 1973 à Brest. Il publie son premier roman Le Black Note en 1998 aux Editions de Minuit qui feront paraître ses romans et notamment L’Absolue perfection du crime en 2001 pour lequel il obtient le prix Fénéon et le prix de la Vocation. Son dernier livre, La Fille qu’on appelle, (éd. De Minuit) figure parmi les livres les plus attendus de cette rentrée littéraire.

La Fille qu’on appelle
« Quand il n'est pas sur un ring à boxer, Max Le Corre est chauffeur pour le maire de la ville. Il est surtout le père de Laura qui, du haut de ses vingt ans, a décidé de revenir vivre avec lui. Alors Max se dit que ce serait une bonne idée si le maire pouvait l'aider à trouver un logement. »

  • Résumé des Editions de Minuit.
    « J'ai d'abord écrit un roman sur la boxe, puis voulu mettre en scène une femme aux prises avec un homme de pouvoir. Ce texte, né de la rencontre de ces deux projets, porte sur un trio de personnages : une très belle fille de 20 ans, un maire qui peut éventuellement, moyennant petit service, lui proposer un logement et un père boxeur, lui-même chauffeur du maire. C'est dans ce rapport de forces que l'histoire se développe et explore un front psychologique, des tensions, des rapports de domination sociale. Ce livre, qui tient sur peu d'événements à l'intérieur desquels je zoome, pourrait se résumer en quelques phrases, tenir dans un titre de faits divers. Puis, comme on regarde au microscope, tout se met à trembler : les identités deviennent instables, on s'interroge sur les ambivalences. Qui domine, qui se soumet et pourquoi ? »
  • Tanguy Viel à propos de La Fille qu’on appelle

Un projet soutenu par le rectorat de Normandie et la ville de Caen.